• Z

    Sous un soleil de plomb au zénith
    Où refondent les zéolites
    Une zérène zigzague entre les ziggourats
    Tandis qu’une zibeline, zeugopodes en feu,
    Recherche quelque zeste de zéphyr,
    Ou l’ombre d’une zénana zinzoline
    Ou bien encore un zinc zen
    Où pour quelques zlotys
    Elle pourra grignoter des graine de zizanie
    Et ne pas devenir un zombie zinzin.


    Z'en peut plus!


    2 commentaires
  • Super NovaeTu parlais sexualité...
    libertés de moeurs...
    relations humaines !

    Mais parlais-tu vraiment ?
    Un brouhaha nous environnait ...
    des mots semblaient sortir de ta bouche...

    La rame de métro pénétrait sous terre
    dans son long tunnel noir.
    Avec un léger grésillement,
    un léger retard aussi,
    les lampes du compartiment s'allumèrent.

    Je détestais ta jupe noire...
    beaucoup trop courte à mon goût
    ton maquillage surligné de noir sur noir
    aussi était de trop ...
    Pas la peine pourtant ...

    Tu étais ennuyeuse comme la vie !


    2 commentaires
  • La texture fine et délicate des nuages
    disparait derrière les arbres
    et soudain c'est le flou qui précède l'orage
    le ciel est beau
    hermétique comme un marbre.


    1 commentaire
  • L'expression convolutée des légalismes se développe autour de la nécessité de nous masquer à nous même la violence dont nous usons envers les autres.
    Muad'Dib

    Entre le fait de priver un homme d'une heure de sa vie ou de le priver de la vie, il n'existe qu'une différence de degré. Dans l'un comme dans l'autre cas, nous usons de violence, nous consommons son énergie.

    Des euphémismes élaborés peuvent dissimuler nos intentions meurtrières mais tout usage de puissance à l'encontre d'autrui se traduit par l'ultime assomption : "Je me nourris de votre énergie."

    Ceci m'interpelle parce que cela s'applique énormément à ce que l'on peut vivre aujourd'hui en ce monde : L'armée, le travail, la prison, la guerre, l'esclavage, le piratage, l'élevage, l'agriculture non biologique, la bouffe mais aussi l'exploitation forestière, la chasse, la pêche, que sais-je encore la sexualité ....
    Heureusement que les nuages du ciel resteront toujours aussi éphémères et éternelles à la fois ......

    Billet posé dans ma rubrique "poèmes et pensées".
    Amitiés.

    3 commentaires
  • L'expression convolutée des légalismes se développe autour de la nécessité de nous masquer à nous même la violence dont nous usons envers les autres.
    Muad'Dib

    Entre le fait de priver un homme d'une heure de sa vie ou de le priver de la vie, il n'existe qu'une différence de degré. Dans l'un comme dans l'autre cas, nous usons de violence, nous consommons son énergie.

    Des euphémismes élaborés peuvent dissimuler nos intentions meurtrières mais tout usage de puissance à l'encontre d'autrui se traduit par l'ultime assomption : "Je me nourris de votre énergie."

    Ceci m'interpelle parce que cela s'applique énormément à ce que l'on peut vivre aujourd'hui en ce monde : L'armée, le travail, la prison, la guerre, l'esclavage, le piratage, l'élevage, l'agriculture non biologique, la bouffe mais aussi l'exploitation forestière, la chasse, la pêche, que sais-je encore la sexualité ....
    Heureusement que les nuages du ciel resteront toujours aussi éphémères et éternelles à la fois ......


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