• La bête 666


    LA BETE
    Les habitants de la Terre se prosterneront devant la Bête à dix cornes et sept têtes. Elle fera sortir de la Terre une autre bête mais celle-ci n'aura que deux cornes et impressionnera tous les habitants avec le pouvoir de faire descendre le feu du ciel sur la Terre. Cette dernière bête marquera, par le chiffre 666, seulement les habitants qui auront le droit de faire du commerce. Ce chiffre est mentionné dans l'apocalypse.
    La Bête de l'Apocalypse se manifesterait en l'an 1999 puisque en renversant ce nombre on obtient 6661, soit  le chiffre de la Bête opposé à l'un divin.


    LA COLERE DU DIVIN

    Tandis que les hommes marqués du symbole de Dieu seront sains et saufs sur le mont Sion, le Fils de l'Homme et les anges enlèveront toutes les récoltes et les vignes pour les mettre dans la cuve de la colère de Dieu où il en sortira du sang.

    PAIX SUR TERRE

    La Bête finit par tomber et la prostituée de Babylone est jugée pour avoir exercé son emprise sur les rois. Une cité si riche où tous les marchands l'ont exploitée sera incendiée et il y aura la famine. Toutes ses richesses impures seront enfin détruites. Et la foule acclamera Dieu d'avoir puni ainsi la prostituée et sa corruption. Les enseignements de Jésus reprendront leur place dans la vie des hommes. Satan est maintenant enchaîné pour mille ans et après il tentera à nouveau d'organiser la guerre. Mais Dieu cette fois le jettera dans l'Étang de feu ainsi que tous ceux qui lui ressembleront dans leurs cœurs. La demeure de Dieu sera établie sur Terre, se sera une grande ville à 12 portes qui correspond aux 12 tribus du peuples d'Israël. Ni le Soleil ni la Lune ne sera nécessaire, car la Lumière de Dieu éclairera pour l'éternité.

    L'APOCALYPSE?

    C'était un résumé de la vision de Jean de Patmos qu'il a appelé l'Apocalypse; il est à noter que ce mot vient du grec et signifie «dévoiler». Est-ce que l'univers qui nous est présenté ici reflète le futur qui correspond à celui de la fin de l'Église Chrétienne? Il est fort possible que certaines personnes vous diront que les événements décrits dans l'Apocalypse se sont déjà produits lors de la chute de Rome et de Constantinople. Présentement nous ne pouvons pas dire que ces mêmes personnes ont tort puisque, tout comme les textes de Nostradamus, le récit de Jean de Patmos est très figuratif. Mais, comme bien d'autres, je crois personnellement que l'Apocalypse représente la fin de l'Église Chrétienne. Tout comme les prophéties rassemblées dans ce livre se coïncident et sont bien amorcées, les événements prédits dans le dernier livre de la Bible se déroulent maintenant.

    LE MONDE ACTUEL, ÉTRANGE COÏNCIDENCE

    Observons tout d'abord les premier sceaux, ils semblent bien représenter la mise en place des éléments d'un monde dirigé par la puissance militaire. Avec les deux premiers, il est possible de visualiser des guerriers solidement entraînés et équipés d'armes à feu très puissantes; même que ces guerriers auront à leur disposition des armes de destruction massives, selon le quatrième sceau. N'est-ce pas le cas, aujourd'hui? Les pays riches possèdent près de 90% des ressources disponibles, mais ne représentent que 10% de la population du globe; alors le mode de vie occidental offre tout juste de quoi survivre aux pays pauvres, celui-ci se réservant les plus belles choses; cette image reflète bien le troisième sceau représentant bien la situation actuelle du commerce mondial; le partage est tout à fait inégal dans le monde. Il est évident, si l'on dispose l'Apocalypse au niveau mondial, que les premiers sceaux sont une bonne représentation des événements du XIXe et surtout du XXe siècle et qu'il est tout à fait impossible de les situer à tout autre moment dans notre passé. Le sixième sceau et les deux premières trompettes nous signalent d'importantes catastrophes naturelles qui semblent s'être bien amorcées au cours de la dernière décennie du XXe siècle; en effet les géologues vous diront que les séismes et les ouragans sont plus fréquents et violents qu'autrefois. Et le «soleil noir» peut très bien correspondre à la dernière éclipse totale du millénaire en Europe où même Nostradamus y voit les débuts du règne de l'Antéchrist. Présentement, nous nous apercevons des désastres écologiques que nous avons provoqués avec la pollution de l'air et de l'eau, tout comme l'indique la troisième et la quatrième trompettes : l'eau a besoin d'être filtrée pour la boire et ce, presque partout dans le monde; l'air pollué par la poussière et la lumière urbaines nous empêche de voir le ciel nocturne dans toute sa splendeur. Il est très clair que nous pouvons voir, avec la description des sauterelles, des avions de guerre ou des hélicoptères militaires avec les missiles sous les ailes, lorsque la cinquième trompette se sera fait retentir. Et un char d'assaut n'est pas tellement différent de l'image inspirée par la trompette suivante, n'est-ce pas? La première partie de la vision de Jean de Patmos, bien que très figurative, dépeint d'une façon remarquable l'ensemble du monde dans lequel les chrétiens, en général, se sont retrouvés à la fin de ce deuxième millénaire. Ce genre de texte, en images symboliques, comme chez Nostradamus, permet difficilement d'offrir une vision claire du futur. Le passé devient souvent clair en transposant les images sur des événements, mais ce n'est pas aussi vrai pour l'avenir et parfois la chronologie n'est pas tout à fait exacte, ce qui entraîne inévitablement des erreurs d'interprétation. Mais une chose est sûre, il y a bien une entité négative qui va s'installer pour dominer le monde, elle séduira les peuples et leurs chefs, elle les montera les uns contre les autres

    LA FAMINE ET LA VIOLENCE

    Le Canada, les États-Unis et une partie de l'Europe sont actuellement ce qu'on appelle communément le «garde-manger mondial». Il est bien écrit que les récoltes seront arrachées et transformées en sang par la colère de Dieu; si jamais une récolte désastreuse intervenait dans ces trois parties du monde, le prix des denrées alimentaires serait si élevé que trois quart de la population mondiale ne pourrait se nourrir adéquatement. Le sang figure généralement, comme une représentation de la violence; la situation mondiale, déjà très sensible, ne peut qu'éclater en guerre mondiale s'il y a une famine générale dans les pays plus pauvres. En quelque sorte, la colère de Dieu serait justifiée par rapport aux lois commerciales instaurées par la bête, celles-ci provoquant un déséquilibre monstre: les pays riches connaissent des croissances économiques fulgurantes alors que les plus démunis s'enfoncent dans un marasme où il devient de plus en plus difficile de combler les besoins de base. C'est alors que les fléaux se répandront sur la terre; ces fléaux nous sont décrits sous une forme très figurative, mais peut-être que la première coupe du malheur représente une épidémie mondiale ou encore l'explosion d'une bombe bactériologique.  Pour un pays pauvre, cette dernière est beaucoup plus intéressante à concevoir que tout l'armement dont disposent les nations riches; cette arme est très peu coûteuse à fabriquer et peu dévaster une région de cent kilomètres carrés avec simplement un gramme d'Anthrax et ce, sans aucune destruction matérielle, seulement la population. De plus, au bout de quelques jours, cette bactérie est complètement disparue, alors une invasion devient relativement facile.

    ARMAGEDON

    La dernière bataille se déroulera à l'endroit inscrit dans l'Apocalypse qui se nomme «Har-Magedôn». «Har» en hébreux signifie «mont», et il y a une ville en Israël qui se nomme Megiddo; il se pourrait que se déroule à cet endroit, dans les montagnes avoisinantes, soit le conflit qui engendrera la troisième guerre mondiale, soit celui qui clôturera cette dernière ou encore les deux. Et les fléaux se terminent par un terrible tremblement de terre d'une puissance jamais égalée dans l'histoire de l'humanité. Dieu appliquera alors le Jugement dernier et la bête sera à nouveau emprisonnée. La dernière guerre mondiale nous apprendra peut-être que la paix est beaucoup plus constructive que la guerre, ce que nous semblons ignorer présentement. Lorsque le royaume de Dieu sera établi sur la terre,  la population mondiale sera à ce moment grandement diminuée; chaque individu aura donc une importance capitale dans la reconstruction du monde. Probablement, avec toutes les expériences dévastatrices que nous allons vivre, nous aurons atteint un niveau de conscience beaucoup plus élevé, qui nous permettra d'harmoniser l'exploitation des richesses de la terre et de cohabiter dans une paix durable. 


    10 commentaires
  • Le basilic

    Il s'agit d'un serpent de petite taille, au corps brillant. Dans la tradition antique, le venin du basilic est réputé mortel et sans antidote.Dans des textes en vieux français, on trouve le terme de basilicoq. En effet, au Moyen Âge, il prend l'apparence d'un coq à queue de dragon ou d'un serpent aux ailes de coq. Cette bête mythique naissait d’un œuf pondu par un coq de sept ans, à l’heure où Sirius était à son apogée dans les cieux. Cet œuf était rond et recouvert d’une épaisse et solide membrane devait être couvert par un crapaud. Une version de la légende affirme que le crapaud devait couver l’œuf pendant neuf ans.La légende dit qu'un basilic a le pouvoir de tuer par son regard s'il aperçoit sa victime avant qu'elle ne le voie, par son souffle tant son haleine est répugnante, ou même par le contact de sa peau, puisqu'il sécrète du venin. On dit que la seule façon d'en venir à bout est de lui présenter un miroir, puisqu'il est vulnérable à sa propre image. L'odeur de la fouine et le chant du coq sont également réputés seules armes animales capables de le vaincre.Cet être fabuleux est l'incarnation même du pouvoir royal qui foudroie ceux qui lui manquent d'égards. Il est aussi la représentation du danger mortel que l'on ne peut éviter à temps et dont seule la protection d'un ange divin peut préserver.Les basilic transforment en désert le pays où ils vivent. Le venin de leur regard est si puissant qu'il peut dissoudre les rochers et brûler l'herbe d'un simple coup d'œil. Les oiseaux tombent en plein vol et un homme monté sur un cheval tue un basilic avec une pique, et l'infection, remontant à travers l'arme, tua non seulement le cavalier, mais aussi sa monture. L'eau où ils étanche leur soif reste empoisonnée. On dit que la première de ces créatures est née du sang de la Gorgone. Cependant, ils continuent à se reproduire en pondant des oeufs qui sont couvés par des crapauds lorsque brille l'Etoile du Chien.


    1 commentaire
  • Dragons dans l'histoire

    Le fait que tous les peuples racontent la même histoire comme celle du Déluge que l'on a désormais prouvé, comme le récit dit légendaire d'Homère a permis à un archéologue (Heinrich Schielmann) de retrouver quelques longues centaines d'années plus tard, la preuve de la réalité du "mythe" (le trésor de Troie), tout ceci prouve justement que le récit reptilien est une histoire de science-fiction bien avant Star Trek !


    Mais, ... bien obligé d'admette, après nous avoir prétendu en préambule qu'il s'agissait d'un animal chimérique, le « mythe universel » a débuté en Chine. Le mot Dragon signifie d'ailleurs "regarder avec intensité », nos ancêtres avaient les descriptions sommaires mais ils regardaient sans doute la réalité...en face. Le Dragon, nous dit notre historienne naturelle, a donné les dynasties impériales. Elle ajoute sans que l'évidence ne lui saute aux yeux que « du serpent à plumes des Aztèques (Quetzalcoatl) au dragon-serpent en Indonésie, du Tiamat de Mésopotamie au dragon de Saint-Georges en Europe, le mythe a connu sur toute la planète une étonnante diversité de formes ».



    Quetzalcóatl :

    Le dieu et roi légendaire Quetzalcóatl, dont le nom signifie le Serpent à plumes, sera adoré par les Toltèques aux alentours du Vème siècle. Cette divinité de la Fertilité (ce dont attestent les statues érigées à Teotihuacan), associée à la végétation puis à la planète Vénus, sera ensuite apparentée à l'Étoile du matin et du soir vers le IXème siècle. Les premiers sacrifices, non humains à l'origine, apparaîtront progressivement dans son culte. Les Aztèques, qui le choisiront comme premier des prêtres entre les XIVème et XVIème siècles, en feront le protecteur des artisans et des livres, ainsi que le symbole de la mort et de la résurrection. Selon la légende, Tezcatlipoca, divinité antagoniste du Ciel nocturne, aurait chassé Quetzalcóatl de Tula, la capitale toltèque. Le roi aztèque Moctezuma II accueillera à bras ouverts le conquérant espagnol Cortés, débarqué en 1519, pensant avoir affaire au Serpent à plumes dont le retour était annoncé par une prophétie.


    Divinité connexe : Kukulkan

    Cette divinité suprême maya d'origine Toltèque, née de l'océan, était à la fois le dieu des quatre éléments, le dieu créateur, le dieu de la résurrection et celui de la réincarnation. Son nom signifie "le serpent à plumes". Les Aztèques l'assimileront à leur Quetzalcóatl.

    Ses attributs, qui représentent chacun un élément, sont :
    - un épis de maïs (la terre),
    - un poisson (l'eau),
    - un lézard (le feu),
    - un vautour (l'air).


    Dragon de Saint-Georges :

    Un jour, Georges arriva dans une ville de Libye nommée Silène (Silcha). Or, dans un étang voisin de la ville vivait un dragon redoutable qui, maintes fois, avait mis en déroute les armées envoyées contre lui. Parfois, il s'approchait des murs de la ville et empoisonnait de son souffle tous ceux qui se trouvaient à sa portée.




    Afin d'apaiser la fureur du monstre et l'empêcher d'anéantir la ville entière, les habitants convinrent de lui offrir chaque jour deux brebis. Bientôt, les brebis vinrent à manquer et les habitants durent se contraindre à les remplacer par des jeunes gens tirés au sort. Aucune famille ne fut exemptée du tirage et le jour de l'arrivée de Saint Georges, le sort désigna pour victime, la fille unique du roi.


    Georges arrive ce jour où, la jeune princesse attachée à un rocher près de l'étang, va être victime du dragon. Monté sur son destrier, il brandit bien haut son étendard et se jette bravement sur le monstre avec une fougue telle qu'il le renverse au sol. Il dit alors à la princesse: "Mon enfant, ne crains plus et place ta ceinture autour du col de ce monstre!" La princesse fit ainsi et le dragon, se redressant, se mit à la suivre comme un petit chien qu'on mènerait en laisse. La bête fut ensuite conduite par la princesse jusqu'à la ville où elle fut décapitée.


    Tiamat :

    Représentant la Mer primordiale, Tiamat apparaît dans le Poème de la création babylonien, d'abord comme l'épouse d'Apsu, l'abîme des eaux douces, couple dont naissent des générations de divinités. Pour venger son époux, tué par Enki-Ea, à l'instigation des autres dieux jeunes, elle place Kingu, son nouveau mari, à la tête d'une coalition de monstres ; mais Marduk, le champion de ses adversaires, après un combat terrible, la tue et son armée s'enfuit.



    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique